Cette réintégration au travail implique diverses parties :

• la collaboratrice ;
• l’environnement professionnel (employeur, responsable RH, collègues…) ;
• les équipes médicales (médecins, personnel infirmier, assistants sociaux…) ;
• la famille et le cercle d’amis ;
• les autorités compétentes et la société civile.

L’aide et le soutien de toutes ces parties faciliteront la reprise. En ce qui concerne le travail proprement dit, le soutien ne se limite pas (forcément) à l’ajustement des tâches et des horaires de travail. Il est aussi essentiel :

• de dialoguer : pour que la situation avant, pendant et après le traitement puisse être abordée ouvertement ;
• d’offrir un appui : à la collaboratrice qui traverse une période difficile ;
• d’écouter : le ressenti de la collaboratrice face à cette situation ;
• d’échanger des informations : sur les problèmes et les obstacles susceptibles de se présenter lors de la reprise du travail ;
• de se comprendre mutuellement : et de tenir compte des attentes mutuelles et des besoins des parties impliquées.

Ces petites choses à intégrer au fonctionnement quotidien de votre entreprise changent tout pour le collaborateur touché. Nous avons donc répertorié ces points en collaboration avec l’INAMI et la FEB. De quoi apporter à votre collaborateur le coup de pouce dont il a besoin pour se sentir à nouveau comme un poisson dans l’eau au travail.

Votre entreprise souhaite-t-elle contribuer à faire la différence dans la lutte contre le cancer du sein ?